
Prime de départ à la retraite : Combien toucher à son départ ?
La prime de départ à la retraite peut booster vos premiers pas hors du travail. Découvrez qui y a droit, comment elle est calculée et comment l’optimiser sereinement.
Perdre son emploi à quelques années de la retraite, c’est souvent source d’angoisse. Mais rassurez-vous, le chômage n’annule pas vos droits à la retraite. Bien au contraire, certaines périodes sans activité continuent même à vous faire gagner des trimestres ! On vous explique.
Quand vous êtes indemnisé par Pôle emploi, vous validez automatiquement un trimestre d’assurance retraite tous les 50 jours d’indemnisation, dans la limite de 4 par an. De quoi maintenir votre rythme de cotisation si vous restez inscrit comme demandeur d’emploi.
Et si vous n’êtes plus indemnisé ? Tant que vous êtes en recherche active et inscrit à Pôle emploi, vous pouvez continuer à bénéficier de trimestres grâce aux périodes assimilées. Il faut simplement que celles-ci soient encadrées dans des limites : 1 an maximum, ou 5 ans si vous avez déjà cotisé au moins 20 ans au cours de votre vie professionnelle.
Côté retraite complémentaire, c’est aussi plutôt rassurant. L’Agirc-Arrco attribue des points gratuits pendant l'indemnisation chômage, calculés sur la base de vos anciens salaires. Vous continuez ainsi à faire progresser votre retraite, même sans emploi.
Oui, les périodes de chômage indemnisé comptent bel et bien pour votre retraite. C’est une excellente nouvelle, surtout si vous vous retrouvez sans emploi après 60 ans. Ces périodes, bien qu’inactives professionnellement, ne sont pas perdues pour votre retraite. Tant que vous touchez des allocations de chômage versées par Pôle emploi, vous continuez de valider des trimestres au régime de base et de cumuler des points pour votre retraite complémentaire.
Concrètement, tous les 50 jours indemnisés (et jours calendaires), vous obtenez un trimestre, dans la limite de 4 par an pour la retraite de base.
Attention : si vous n’êtes plus indemnisé mais toujours inscrit à Pôle emploi, certaines périodes peuvent encore être prises en compte, dans des limites précises. C’est ce qu’on appelle des périodes assimilées. Là encore, ces périodes protègent vos droits à la retraite.
Bonne nouvelle : même sans emploi, vous pouvez continuer à valider des trimestres pour la retraite. Mais pas n’importe comment ! Pour que vos périodes de chômage soient comptabilisées, vous devez impérativement être inscrit comme demandeur d’emploi auprès de Pôle emploi. C’est votre inscription qui fait foi, qu’il y ait indemnisation ou non.
Ensuite, tout dépend de votre situation. Si vous êtes indemnisé·e, chaque période de 50 jours de perception d’allocations chômage vous donne droit à 1 trimestre, dans la limite de 4 trimestres par an. C’est automatique, pas besoin de démarches spécifiques.
Mais si vous n’êtes plus indemnisé·e ? Pas de panique : vous pouvez malgré tout obtenir des trimestres au titre des périodes assimilées. Elles sont prises en compte tant que vous êtes inscrit·e à Pôle emploi. Mais attention : leur prise en compte est limitée dans le temps. Vous avez droit à 12 mois maximum, et jusqu’à 60 mois si vous avez au moins 20 ans de cotisations à votre actif.
C’est donc essentiel de maintenir votre inscription, même sans allocations ! Et surtout, conservez bien tous vos justificatifs pour faire valoir vos droits auprès de l’Assurance retraite.
Chez Skarlett, on le sait : préparer sa retraite en fin de parcours peut vite devenir un casse-tête. C’est pourquoi nos experts sont là pour vous accompagner pas à pas : vérifier vos trimestres, clarifier les règles, anticiper les manques... Et surtout, vous aider à faire les bons choix pour ne rien laisser au hasard au moment de partir à la retraite.
Oui, et c’est une bonne nouvelle ! Même si vous ne touchez plus d’allocation chômage, certaines périodes dites non indemnisées peuvent quand même compter pour votre retraite. À condition bien sûr de rester inscrit(e) à Pôle emploi comme demandeur d’emploi. C’est cette inscription qui fait toute la différence !
Dans ce cas, on parle de périodes assimilées. Elles vous permettent de valider des trimestres, même si vous n’avez plus de revenus. Vous pouvez obtenir jusqu’à 1 an de trimestres en période non indemnisée. Et si vous avez déjà cotisé au moins 20 ans au cours de votre carrière, cette durée peut être étendue à 5 ans.
Attention, ces périodes ne génèrent pas de points pour votre retraite complémentaire Agirc-Arrco. Elles comptent uniquement pour le régime de base. Cela dit, elles peuvent s’avérer précieuses pour atteindre l’âge légal de départ ou valider les fameux 166 ou 172 trimestres (selon votre année de naissance).
Le réflexe à adopter ? Gardez votre inscription à Pôle emploi active, même sans indemnisation, et archivez bien tous vos justificatifs.
Le chômage peut faire peur, surtout quand l’heure de la retraite approche... Pourtant, rassurez-vous : votre retraite de base et votre retraite complémentaire ne s’envolent pas avec votre emploi ! Tant que vous êtes indemnisé par Pôle emploi, vous continuez à acquérir des droits. Pour le régime de base, chaque période de 50 jours d’indemnisation vous permet de valider un trimestre, jusqu’à 4 par an.
Et ce n’est pas tout ! Même côté complémentaire, vous ne perdez pas vos avantages. Si vous êtes affilié à l’Agirc-Arrco, les périodes de chômage indemnisé donnent lieu à l’attribution de points gratuits, calculés en fonction de vos anciens salaires. Autrement dit, votre pension future continue de progresser, même sans fiche de paie.
En revanche, si vous n’êtes plus indemnisé mais toujours inscrit à Pôle emploi, seule votre retraite de base continue à valider des trimestres sous certaines conditions. La retraite complémentaire, elle, ne vous attribuera plus de points dans ce cas.
Que vous touchiez l’ARE (Aide au Retour à l'Emploi), l’ASS (Allocation de Solidarité Spécifique) ou une tout autre aide versée par Pôle emploi, vos droits à la retraite ne sont pas figés : ils évoluent selon l’allocation perçue.
Voici une liste claire pour mieux comprendre ce à quoi vous avez droit.
En résumé : chaque aide reçue ne donne pas les mêmes droits. L’ARE reste la plus avantageuse, surtout si vous approchez de la retraite. Mais ce n’est pas parce que vous touchez une autre allocation que tout est perdu.
Ça y est, vous avez atteint l’âge légal de départ à la retraite (entre 62 et 64 ans selon votre année de naissance – source : lassuranceretraite.fr) ? Avant de souffler, quelques étapes sont indispensables pour concrétiser votre départ et débloquer votre pension dans les temps.
Première chose à faire : vérifiez votre relevé de carrière. Il récapitule tous vos trimestres validés – que ce soit par le travail, le chômage, les enfants ou la maladie. Ce document, disponible en ligne, est votre meilleur allié pour faire le point sur vos droits. Un conseil : repérez d’éventuels trous ou oublis, et si besoin, faites rectifier.
Ensuite, ne tardez pas à faire votre demande officielle de retraite. Elle doit être déposée au moins 6 mois avant la date souhaitée. Et oui, le temps administratif peut être long, alors autant anticiper pour toucher vos premières pensions sans délai.
Vous continuez de travailler malgré l'âge légal atteint ? Vous pouvez opter pour la retraite progressive ou encore cumuler emploi et retraite. C’est parfois une bonne option, surtout si vous n’avez pas encore tous vos trimestres.
Vous arrivez en fin de droits chômage, mais pas encore à l’âge de la retraite ? Cette période floue peut faire peur, mais il existe des alternatives concrètes pour garder le cap. La première chose : maintenez votre inscription à Pôle emploi, même sans indemnisation. Cela permet dans certains cas de continuer à valider des trimestres, surtout si vous avez déjà cotisé plus de 20 ans.
Autre piste : l’ASS (Allocation de Solidarité Spécifique), pour les personnes en fin de droits qui ont déjà travaillé de nombreuses années. Elle ne donne pas de points retraite complémentaire, mais peut ouvrir droit à des trimestres au RSI de base. Enfin, certaines aides locales ou formations financées peuvent aussi être compatibles avec la validation de trimestres ou d'activités valorisables.
En parallèle, il est parfois stratégique d’envisager une retraite anticipée (ex : carrière longue, inaptitude, départ à 62 ans avec décote) ou de recourir à un cumul emploi-retraite lorsque c’est possible. Beaucoup de seniors choisissent aussi le dispositif de retraite progressive pour alléger leurs revenus en douceur.
Chaque situation est unique. Avant de prendre une décision, faites le point sur vos trimestres, vos droits et vos possibilités. Avec Skarlett, vous n’êtes pas seul : nos conseillers analysent avec vous les meilleures options selon votre parcours et vous aident à traverser sereinement cette étape délicate. Ne laissez pas le flou s’installer : anticiper, c’est préserver sa retraite.
Eh oui, contrairement à ce qu’on imagine, vous n’êtes pas obligé(e) de partir à la retraite dès que vous atteignez l’âge légal. Vous pouvez tout à fait retarder le moment de faire votre demande de retraite. Et cette décision peut vous rapporter gros !
En différant votre départ, vous continuez à acquérir des trimestres supplémentaires. Et chaque trimestre validé en plus après l’âge légal vous donne droit à une surcote de 1,25 % sur votre pension de base. Cumulée sur plusieurs trimestres, cette surcote peut augmenter votre retraite de manière très significative… à vie.
Pas besoin de justification particulière pour décaler votre demande : il suffit de continuer à cotiser ou de rester inscrit à Pôle emploi, selon votre situation. Si vous avez déjà tous vos trimestres requis pour une retraite à taux plein, chaque mois de plus travaille pour vous.
Attention tout de même : cela ne concerne que la retraite de base. Côté complémentaire (Agirc-Arrco), la logique est différente. Dans certains cas, différer votre départ évite une minoration temporaire de votre pension. Dans d'autres, cela permet de bénéficier de plus de points. Chaque cas est unique, donc mieux vaut vérifier avec un expert.
Vous arrivez à la fin de vos droits chômage, la retraite approche… mais elle n’est pas encore tout à fait là ? C’est une zone grise qui, on vous l’accorde, peut être stressante. Mais pas de panique : cette période n’est pas un trou noir pour votre retraite. Tant que vous restez inscrit à Pôle emploi, vous pouvez encore valider des trimestres au régime de base, même sans indemnisation ! Attention, ces droits sont limités à 12 mois, ou jusqu’à 5 ans si vous avez déjà cotisé au moins 20 ans.
Mais côté retraite complémentaire (Agirc-Arrco), c’est une autre histoire : plus de points attribués si vous ne percevez plus d’allocations. Cela peut impacter le montant final de votre pension. C’est donc le moment idéal pour vous poser les bonnes questions : avez-vous tous vos trimestres ? Peut-on optimiser vos droits ? Quelles aides sont encore accessibles ?
Et pensez aussi à l’avenir immédiat : sans revenus via Pôle emploi, il devient crucial de sécuriser vos ressources.
Bonne nouvelle : atteindre 62 ans ne vous oblige pas à tirer un trait immédiat sur vos allocations chômage. Si vous ne remplissez pas encore les conditions pour une retraite à taux plein, Pôle emploi peut prolonger vos droits. Ce maintien est possible jusqu’à 67 ans au maximum, sous certaines conditions strictes.
Pour continuer à percevoir l’ARE (Aide au Retour à l’Emploi), vous devez remplir quatre conditions essentielles : être indemnisé depuis au moins un an, ne pas avoir tous les trimestres requis pour une retraite à taux plein, rester inscrit à Pôle emploi, et ne pas refuser d’actualiser votre situation mensuellement. Le maintien de votre indemnisation est alors sécurisé, même après l’âge légal de départ à la retraite.
Ce dispositif est particulièrement utile si vous êtes en fin de carrière et qu’il vous manque quelques trimestres. Il vous permet de gagner du temps pour compléter votre relevé sans vous précipiter dans une retraite incomplète avec décote. Toujours bon à savoir : durant cette période, vous continuez aussi à valider des trimestres pour le régime de base, tant que vous êtes indemnisé.
Mais attention : une fois que vous êtes éligible à une retraite à taux plein, même si vous ne la demandez pas, l’indemnisation chômage s’arrête automatiquement. Pas le choix cette fois !
Pour être sûr de faire les bons choix dans ce moment charnière, les experts Skarlett sont là pour vous accompagner : vérification de vos droits, simulation de pension, éclairage sur vos possibilités… Il suffit de nous contacter pour découvrir les options qui s’offrent à vous, et construire ensemble une fin de carrière vraiment sur-mesure.
Vous approchez de la retraite et vous touchez encore l’ARE ? Rassurez-vous, il est possible de continuer à percevoir l’Allocation de Retour à l’Emploi jusqu’à 67 ans maximum, sous certaines conditions bien spécifiques.
Concrètement, si vous avez plus de 62 ans et que vous ne remplissez pas encore les conditions pour une retraite à taux plein, Pôle emploi peut maintenir votre ARE jusqu’à ce que vous soyez éligible, et dans la limite de 67 ans. Il faut cependant respecter quatre critères essentiels : être indemnisé depuis au moins un an, ne pas avoir tous les trimestres requis, rester inscrit à Pôle emploi, et actualiser votre situation chaque mois.
Ce maintien peut être un vrai coup de pouce pour atteindre plus sereinement vos 172 trimestres nécessaires si vous êtes né après 1973. Et tant que vous êtes indemnisé, vous continuez aussi à valider des trimestres pour votre retraite de base et à gagner des points pour votre retraite complémentaire.
Mais attention, dès que vous devenez éligible à la retraite à taux plein, l’indemnisation s’arrête automatiquement. Même si vous décidez de ne pas liquider tout de suite vos droits. Il est donc crucial d’anticiper cette échéance pour ne pas vous retrouver sans ressources.
Quand on approche de la retraite, chaque mois compte. Et si vous êtes au chômage, vous vous demandez sûrement : jusqu’à quand vais-je être indemnisé par Pôle emploi ? La durée maximale d’indemnisation varie selon votre âge au moment de la rupture de contrat. Voici un tableau clair pour comprendre vos droits et anticiper au mieux la suite.
(Source : unedic.org)
Mais ce n’est pas tout ! Une fois passé 62 ans, si vous n’avez pas encore tous vos trimestres pour une retraite à taux plein, vous pouvez bénéficier d’un maintien de l’ARE jusqu’à 67 ans maximum, sous conditions. C’est un vrai coup de pouce pour compléter vos droits sans précipiter votre départ en retraite.
Vous avez plus de 60 ans et vous êtes encore à la recherche d’un emploi ? Pas de panique : plusieurs dispositifs spécifiques existent pour vous accompagner vers la retraite. Voici une liste claire des options disponibles pour les seniors au chômage.
Entre maintien prolongé de l’ARE, départ anticipé et cumul retraite-emploi, vous avez plus d’une carte à jouer. Le tout, c’est de faire les bons choix selon votre situation.
Vous êtes encore demandeur d’emploi à l’approche de la retraite et vos droits arrivent à épuisement ? Il est tout à fait possible de demander une prolongation de vos allocations chômage auprès de France Travail (anciennement Pôle emploi), surtout après 62 ans, si vous ne remplissez pas encore toutes les conditions pour une retraite à taux plein.
Pour en faire la demande, pas besoin de démarches compliquées. Le maintien de l’indemnisation se fait de manière automatique, à condition de respecter 4 critères :
Si vous remplissez ces conditions, vos droits peuvent être prolongés jusqu’à 67 ans maximum. Un vrai coup de pouce pour continuer à valider des trimestres et améliorer vos droits retraite, tout en assurant un revenu régulier.
Ça y est, vous sentez que l’heure est venue de tourner la page du travail actif ? Il est temps de liquider vos droits à la retraite ! Et pour que tout se passe en douceur, il vaut mieux s’y prendre tôt. Première étape : vérifiez votre relevé de carrière. Ce document détaille tous les trimestres acquis au fil des années. Vous pouvez le consulter depuis votre compte sur lassuranceretraite.fr. S’il manque des périodes (chômage, maladie, maternité...), il faut les faire régulariser sans tarder.
Deuxième étape : faire votre demande de retraite. Elle se réalise en ligne en quelques clics, mais attention : il est vivement recommandé de s’en occuper au moins 6 mois avant votre départ souhaité. Cette demande concerne aussi bien le régime de base que la retraite complémentaire Agirc-Arrco. Une fois validée, vous recevrez une notification indiquant le montant estimé de votre pension.
Pensez également à contacter votre caisse complémentaire pour liquider vos points Agirc-Arrco. Là aussi, tout se passe généralement en ligne, mais un accompagnement peut s’avérer précieux.
Préparer sa retraite, c’est un peu comme organiser un grand voyage : mieux vaut s’y prendre à l’avance pour éviter les mauvaises surprises. Pourtant, face à la complexité des démarches, il est facile de se sentir perdu. Trimestres à valider, options de départ, impact du chômage… chaque détail compte.
Un conseiller vous aide à faire le point sur votre situation réelle en analysant votre relevé de carrière, en simulant votre pension future, et en repérant les éventuels manques – trimestres oubliés, points non attribués... Avec un regard d’expert, il peut aussi déceler des leviers d’optimisation concrets : rachat de trimestres, choix de la date idéale de départ, cumul emploi-retraite ou retraite progressive.
Et ce n’est pas tout ! Chez Skarlett, on ne vous laisse pas seul face aux démarches. Nos conseillers vous accompagnent étape par étape, de la vérification de vos droits à la constitution de votre dossier, en passant par la comparaison des meilleures solutions pour augmenter vos revenus une fois à la retraite.
✅ Le plus ? Cette aide est 100 % personnalisée, sans engagement, et parfaitement adaptée aux parcours seniors. Parce que vous méritez un accompagnement humain, simple et efficace… pour aborder la retraite en toute sérénité.
Ne laissez pas le hasard décider pour vous. Anticipez votre passage à la retraite avec l’aide des experts Skarlett. Un simple appel, et tout devient plus clair.
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