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Statut, calcul des droits, démarches : découvrez comment anticiper votre retraite en tant que gérant de SARL et sécuriser au mieux vos revenus futurs.
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Gérant d’une SARL et bientôt à la retraite ? Sachez que votre statut a un impact direct sur le calcul de votre pension, vos droits et les démarches à entreprendre. Ce guide vous accompagne pour anticiper au mieux cette étape cruciale, optimiser vos revenus futurs et bien gérer la transition entre vie professionnelle et retraite. Objectif ? Vous offrir une retraite plus sereine et sécurisée.
Quand on parle de SARL, la question du statut du gérant est essentielle, surtout à l’approche de la retraite. Être gérant majoritaire (plus de 50 % des parts) ou minoritaire (50 % ou moins) ne donne pas accès aux mêmes droits sociaux ni à la même protection sociale. Et ça, ça peut vraiment faire la différence pour votre pension !
Le gérant majoritaire relève du régime des travailleurs non salariés (TNS). À ce titre, il cotise pour sa retraite via la Sécurité sociale des indépendants, anciennement RSI. Ce régime offre des cotisations sociales généralement moins élevées, mais aussi une couverture moindre, notamment pour la retraite complémentaire ou l’arrêt de travail. En revanche, un gérant minoritaire est assimilé salarié et dépend du régime général : plus de cotisations, mais aussi une meilleure protection sociale et une retraite souvent plus avantageuse.
Cette distinction a donc un impact direct sur le montant de votre future pension, mais aussi sur les démarches à anticiper pour faire valoir vos droits. Bonne nouvelle : rien n’est figé. Il est parfois pertinent de réfléchir à une transmission progressive ou à un changement de statut pour sécuriser vos revenus futurs.
Le choix entre statut TNS (Travailleur Non Salarié) ou assimilé salarié influence fortement votre retraite, vos droits sociaux et le montant de vos cotisations. Un TNS cotise moins, avec un revenu net plus élevé à court terme, mais une protection sociale plus faible, notamment en matière de retraite, d'arrêt maladie ou de prévoyance. De son côté, un assimilé salarié cotise davantage, mais il bénéficie d’une meilleure couverture – notamment grâce au régime général de la Sécurité sociale et à une retraite complémentaire souvent plus solide.
Si la perspective d’une retraite plus confortable vous attire, le statut d’assimilé salarié – souvent réservé aux gérants minoritaires – peut être plus adapté. À l’inverse, pour ceux qui souhaitent optimiser leurs revenus pendant l’activité professionnelle, le TNS peut présenter des avantages... à condition de bien anticiper leur avenir financier et de compléter par des dispositifs privés comme la retraite Madelin ou un PER individuel.
En fonction de votre statut en tant que gérant de SARL, vous ne cotisez pas aux mêmes caisses de retraite. Et ça change tout ! Voici une liste claire des régimes concernés selon votre situation :
Ce qui en découle ? Des impacts directs sur le montant de votre pension, les âges de départ à la retraite et les options de rachat de trimestres. Avant de décider de rester majoritaire ou non à la tête de votre entreprise, mieux vaut savoir à quoi s’attendre.
Le calcul de la retraite de base des travailleurs non salariés (TNS), comme les gérants majoritaires de SARL, suit des règles bien spécifiques. Elle est gérée par la Sécurité sociale des indépendants (SSI), ex-RSI, et repose sur deux éléments clés : le revenu professionnel moyen et le nombre de trimestres validés au cours de la carrière.
Concrètement, la SSI prend en compte les 25 meilleures années de revenus (comme pour les salariés), dans la limite du plafond annuel de la Sécurité sociale (PASS), qui est de 46 368 € en 2024 (source : URSSAF). Si vous avez moins de 25 années cotisées, on fait la moyenne sur ce que vous avez.
Ensuite, cette moyenne est multipliée par un taux plein de 50 %, si vous avez validé le nombre de trimestres requis (172 pour les personnes nées à partir de 1973), ou un taux réduit si ce n’est pas le cas. La formule devient donc : Moyenne des revenus x Taux x (Durée cotisée / Durée requise).
Par exemple, si vous avez eu une moyenne de 30 000 €, avec tous vos trimestres validés, vous pouvez envisager une retraite brute annuelle de 15 000 €, soit 1 250 € par mois. Mais attention : si vous partez plus tôt ou avec des trimestres manquants, des décotes peuvent s’appliquer.
On entend souvent parler de « retraite à points » sans vraiment comprendre ce que ça signifie. Pourtant, c’est simple ! Votre retraite complémentaire fonctionne selon un système de points : vous cotisez pendant que vous travaillez, ces cotisations sont converties en points, et plus vous avez de points, plus vous touchez à la retraite. Ce système concerne notamment les assimilés salariés, qui dépendent de l’Agirc-Arrco, la caisse de retraite complémentaire des salariés du privé.
Chaque année, vous achetez des points en fonction de votre salaire et du taux de cotisation. En 2024, la valeur d’achat d’un point Agirc-Arrco est de 19,632 €, et sa valeur de service à la retraite est de 1,4159 € par an (source : Agirc-Arrco). Concrètement, si vous avez cumulé 5 000 points au fil de votre carrière, cela représente environ 7 080 € de retraite complémentaire par an, soit 590 € par mois. Ces sommes viennent s’ajouter à votre retraite de base.
Plus vous commencez tôt à optimiser vos cotisations, plus vous augmentez vos chances de profiter d’une retraite confortable. Bonne nouvelle : il existe plusieurs leviers pour mieux cotiser tout au long de votre carrière, sans pour autant sacrifier votre pouvoir d'achat actuel.
Premier réflexe à adopter : ne pas négliger les périodes à faibles revenus. Même si vous êtes en début d’activité ou avec des revenus modestes, il peut être judicieux de valider un maximum de trimestres, quitte à racheter ceux manquants plus tard. Vous pouvez d’ailleurs racheter jusqu’à 12 trimestres de cotisation, notamment pour les années d’études ou les périodes incomplètes.
Ensuite, pensez à cotiser sur une base volontairement plus élevée lorsque votre cash-flow le permet. Cela est possible pour les travailleurs non salariés via des dispositifs comme le contrat Madelin ou le Plan Épargne Retraite (PER), qui permettent de se constituer une épargne déductible fiscalement tout en préparant votre départ.
Autre astuce : diversifiez vos sources de cotisation. Si vous avez cumulé plusieurs activités (salarié + indépendant, par exemple), il est essentiel de vérifier que vous cotisez aux bons régimes et que chaque activité contribue bien à votre retraite de manière complémentaire.
Enfin, gardez en tête que des choix stratégiques en cours de carrière peuvent faire toute la différence. Un changement de statut, une augmentation de rémunération ou la création d’un PER peuvent transformer vos droits à la retraite sur le long terme.
Quand on approche de la retraite, chaque euro compte. Et si vous êtes gérant de SARL, le bon réflexe c’est d’anticiper en misant sur les bons dispositifs d’épargne. Le PER (Plan Épargne Retraite) ou le contrat Madelin sont deux options taillées pour renforcer vos revenus une fois à la retraite.
Le PER vous permet de placer des sommes régulièrement ou ponctuellement, avec un double bonus : une économie d’impôt pendant votre activité et la possibilité de sortir en capital ou en rente à la retraite. En 2024, vous pouvez déduire jusqu’à 10 % de vos revenus professionnels, dans la limite de 35 194 € pour un indépendant .
Le contrat Madelin, réservé aux TNS comme les gérants majoritaires, fonctionne selon le même principe, mais impose une sortie en rente. Il reste néanmoins un excellent outil si vous souhaitez sécuriser un revenu régulier à la retraite, notamment pour compléter une couverture de base souvent plus faible que celle du régime général.
Le plus ? Ces deux dispositifs peuvent être cumulés, notamment si vous avez une activité mixte (TNS et salariée), ou que vous avez changé de statut en cours de carrière. Mieux : certains PER acceptent les transferts de contrats Madelin. Cela permet d’adapter vos placements à vos nouveaux objectifs en toute simplicité.
Le rachat de trimestres peut être une vraie bouffée d’air pour ceux à qui il en manque quelques-uns pour partir à la retraite dans de bonnes conditions. Que ce soit pour atteindre plus vite le taux plein ou augmenter le montant de votre pension, cette solution mérite qu’on s’y penche. C’est notamment intéressant si vous avez eu des années d’études supérieures ou des périodes où vous avez cotisé partiellement. À la clé : une fin de carrière plus douce… et moins de décote !
Mais attention, ce n’est pas automatique ni toujours rentable. Le coût du rachat dépend de votre âge, de vos revenus et du nombre de trimestres souhaités. En 2024, il faut compter de 1 091 € à 3 894 € par trimestre selon le profil (source : Service-Public.fr). C’est donc une dépense à bien calculer ! Pour les gérants de SARL, encore en activité ou proches de la retraite, cela peut permettre de partir à la date souhaitée sans subir de pénalité.
Ça y est, le grand moment approche : vous êtes prêt(e) à tourner la page et profiter pleinement de votre retraite. Mais pour que tout se passe dans les règles de l’art (et éviter les mauvaises surprises), il faut demander la liquidation de vos droits. Autrement dit, enclencher officiellement le versement de vos pensions. Oui, c’est une démarche volontaire : rien ne se fait automatiquement, même si vous atteignez l’âge légal !
La première étape ? Faire votre demande au moins 6 mois avant la date de départ souhaitée. L’idée, c’est de laisser le temps aux différentes caisses de traiter votre dossier, surtout si vous avez eu plusieurs statuts : salarié, indépendant, gérant de SARL... Pour cela, vous pouvez passer par votre espace personnel sur info-retraite.fr. Ce service en ligne centralise les demandes pour le régime général, les régimes complémentaires et les régimes spéciaux.
Ensuite, tous les régimes auxquels vous avez cotisé vont vous demander des pièces justificatives : bulletins de salaire, bilans comptables (si TNS), attestation de cessation d’activité, RIB... Et parfois, il faut insister pour corriger des oublis ou combler des trous dans votre carrière. Plus complexe votre parcours, plus ces démarches peuvent être fastidieuses.
Et pour ceux qui souhaitent continuer une activité à la retraite, pensez aussi à signaler votre cumul emploi-retraite. Là encore, il y a des règles à respecter selon votre statut. Bref, soyez bien entouré pour tout faire dans les règles... et ne rater aucun euro.
Passer le flambeau, ça ne s’improvise pas. Que vous souhaitiez vendre votre entreprise ou la transmettre à un proche, il est crucial de bien s’y préparer, surtout à l’approche de la retraite. Pourquoi ? Parce que cette étape impacte directement vos revenus futurs, votre fiscalité… et votre tranquillité d’esprit.
La première chose à savoir, c’est que la valorisation de votre société prend du temps. Comptez entre 6 mois à 2 ans pour une transmission réussie. Il s’agit d’anticiper : faire un point sur les bilans, identifier un repreneur, sécuriser les contrats et préparer votre sortie juridiquement, fiscalement et humainement. Plus tôt vous vous y prenez, plus vous maîtrisez les conditions… et les conséquences.
Côté fiscal, bonne nouvelle : il existe des dispositifs avantageux pour les cessions de PME par des dirigeants partant à la retraite, avec exonération partielle ou totale des plus-values sous certaines conditions (source : BOFIP - Impôts.gouv.fr). Mais attention, ils nécessitent des démarches et des délais précis à respecter, comme avoir exercé pendant 5 ans et arrêter toute activité dans les 2 ans qui suivent la vente.
Autre option : la transmission familiale. Là aussi, une bonne préparation permet de limiter les droits à payer grâce à des mécanismes comme le pacte Dutreil, qui peut réduire jusqu’à 75 % la base taxable de la transmission (source : Loi Dutreil, art. 787 B CGI). De quoi préserver le patrimoine… et éviter des tensions entre héritiers.
Le départ à la retraite, surtout quand on est gérant de SARL, c’est un passage important. Il y a des pièges classiques dans lesquels on peut tomber… et qui peuvent coûter cher ! Pour éviter les déconvenues de dernière minute, voici une liste des erreurs fréquentes qu’il vaut mieux repérer à temps :
L’idée, c’est de partir l’esprit léger. Et pour ça, Skarlett est à vos côtés : on repère les pièges à éviter, on vous guide étape par étape, et surtout, on sécurise vos droits. Ensemble, on évite les erreurs… et on maximise votre retraite.
Vous avez atteint l’âge de la retraite, mais pas question de raccrocher tout de suite ? Le cumul emploi-retraite vous permet de continuer une activité professionnelle tout en touchant votre pension. Une belle façon de compléter vos revenus, tout en gardant un pied dans la vie active... à votre rythme !
Mais attention, il y a quelques règles à respecter. Si vous avez liquidé tous vos droits à la retraite (de base et complémentaires) et atteint l'âge légal avec le nombre de trimestres requis, vous pouvez bénéficier du cumul intégral. Cela veut dire percevoir vos pensions sans plafond de revenus, tout en travaillant librement. Pas mal, non ?
En revanche, si vous partez en retraite sans le taux plein, vous basculez dans un cumul partiel. Dans ce cas, vos revenus d’activité ne doivent pas dépasser une certaine limite (généralement l’équivalent du dernier salaire ou 160% du SMIC – soit 2 782 € brut mensuels en 2024 – source : Service-Public.fr). Sinon, la pension est réduite voire suspendue. À bien surveiller !
Autre point à savoir : si vous reprenez une activité dans le même régime que celui de votre retraite, vous devez respecter un délai de carence de 6 mois avant de retravailler chez votre ancien employeur. Et non, cotiser à nouveau ne permet pas de générer de nouveaux droits à la retraite. Dommage, mais c’est la règle !
Lorsque vous partez à la retraite, que vous soyez gérant majoritaire ou assimilé salarié, vos ressources ne doivent pas dépasser certains plafonds de revenus pour continuer à bénéficier pleinement de certains dispositifs, notamment ceux liés à la solidarité nationale comme l’ASPA (allocation de solidarité aux personnes âgées) ou le minimum contributif.
Par exemple, en 2024, pour toucher l’ASPA, vos ressources annuelles ne doivent pas excéder 12 148,35 € pour une personne seule et 18 846,79 € pour un couple (source : Service-public.fr). Autrement dit, si vos pensions, loyers ou autres revenus dépassent ces seuils, vous perdez le droit à cette aide.
Autre cas de figure : si vous poursuivez une activité professionnelle grâce au cumul emploi-retraite, il faudra là aussi surveiller vos revenus, selon votre régime. En cumul partiel, vos revenus d’activité + pensions ne doivent pas dépasser 160 % du SMIC brut mensuel, soit environ 2 782 € (source : URSSAF 2024). Au-delà, votre pension peut être réduite ou suspendue.
Bonne nouvelle : rien n’empêche un retraité de redevenir gérant d’une SARL, à condition de respecter certaines règles ! Que vous soyez déjà à la retraite ou tout juste retraité, il est tout à fait possible de reprendre les rênes d’une entreprise, que ce soit pour créer une société, diriger un nouveau projet ou aider un proche dans ses démarches.
Mais attention : pour pouvoir percevoir votre pension sans restriction, vous devez avoir liquidé l’ensemble de vos retraites (base et complémentaire) et être parti avec le taux plein. Dans ce cas, vous bénéficiez du cumul emploi-retraite intégral, sans plafond de revenus, ce qui signifie que vous pouvez redevenir gérant – majoritaire ou minoritaire – et toucher à la fois vos pensions et votre nouvelle rémunération. Pratique, non ?
En revanche, si vous êtes en cumul partiel (donc sans toutes vos trimestres ou revenu antérieur modeste), vos revenus d’activité sont soumis à un plafond (généralement l’équivalent de votre dernier salaire ou 160 % du SMIC – soit 2 782 € bruts mensuels en 2024 – source : URSSAF). Dépassé ce seuil ? Votre pension peut être suspendue temporairement. À surveiller de près donc.
Enfin, redevenir gérant implique aussi de cotiser à nouveau… mais sans générer de nouveaux droits retraite. C’est un peu injuste, mais c’est la règle. D’où l’intérêt de bien calculer l’intérêt de ce retour à l’activité.
Chez Skarlett, on vous aide à poser tous les chiffres, comparer les scénarios et décider en toute sérénité. Vous voulez reprendre du service ? On s’assure que ce soit vraiment un bon plan pour vous… et pour votre pension !
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